Le mot safari vient de l’Arabe « safar » qui veut dire voyage. Dans la culture arabo-musulmane et celle , médiévale universelle, ce mot n’a pas le sens banal qu’il a aujourd’hui, avec les moyens de transports qui se sont développé dans toutes les formes et sous toutes les latitudes. Toujours plus de vitesse, toujours plus de confort. Toujours plus de monde à inciter aux déplacements, les plus courts comme les plus longs, vers des destinations qui avant demandaient encore des mois, voire l’année entière (pèlerinage à la Mecque ou vers d’autres lieux sacrés). Aujourd’hui, ces destinations si lointaines, transcontinentales ne demandent plus que quelques heures avec divertissements et repas à la clé !

Le « safar » (voyage, départ) est aujourd’hui encore accompagné d’une note de tristesse, d’un goût d’amertume pour la séparation et d’une touche d’anxiété, voire de crainte un peu superstitieuse, car « on ne sait jamais ce qui peut arriver au cours d’un voyage ! ».

Histoire des caravanes modernes

Safari = traque d’animaux sauvages en Afrique !

Quel raccourci réducteur ! D’abord, pour pouvoir traquer des animaux sauvages, les abattre pour tirer profit de de leurs fourrures ou d’on ne sait quelle partie du corps, il faut pouvoir les rejoindre, les approcher, probablement les tromper en faisant semblant de les apprivoiser ou des les nourrir. Ces animaux ne sont pas toujours dans des contrées facilement accessibles. De plus, ils sont mobiles, migrateurs, se déplaçant selon les saisons et leurs besoins en nourriture et en environnement climatique et végétal.

Il faut donc que les chasseurs (souvent des braconniers sans scrupules) venant d’autres pays (généralement européens), organisent de véritable voyages (les fameux safaris) et non de simple sortie en forêts comme on le fait dans les pays européens pendant la saison des chasses.

Ils constituent des caravanes modernes avec des véhicules tout terrain, toujours de plus en plus puissants, toujours de plus en plus dotés d’équipements sophistiqués et chers. Le plus gênant est que ces amateurs de battues en plein Sahara ou en pleine jungle aient usurpé un mot noble aux fonctions originelles purement pacifiques et utiles dans un monde où la circulation des biens et des humains n’était pas chose aisée.

Soyons clairs à ce sujet. Ce n’est pas le safari au sens contemporain (partie de chasse plus ou moins exotico-touristique) qui gêne. Aujourd’hui, de nombreux états, notamment en Afrique organisent eux-mêmes des safaris « officiels ». Mais c’est fait de manière légale, organisée, limitée dans le temps. Les opération de chasse étroitement surveillées par des « forces » entraînées et équipées afin d’éviter tout dérapage, des équipes sanitaires et de secours aussi bien pour les animaux en questions que pour les « safaristes «  sont mises sur pied…

La caravane, moyen universel de transport safari

Avant que le mot safari ne devienne « banalement » synonyme de partie de chasse « virile » pour prouver que l’homme reste toujours plus fort que les bêtes les plus féroces et surtout pour en tirer le maximum de profits en espèces sonnantes et trébuchantes, il signifiait tout simplement voyage lorsqu’il ne s’agit pas d’un simple déplacement à distante réduite ou modeste. On parlait de safar, lorsqu’il s’agissait par exemple de se rendre à la Mecque pour le pèlerinage, ou de conduire des caravanes de marchandises d’une région lointaine à une autre. Caravane ! Voilà le mot clé, la solution aux déplacements longs avant l’invention des engins motorisés.

Ce mot est d’origine persane en vérité : karouân = troupe de voyageurs.(XIIème siècle). On pense que la ville de Kérouan en Tunisie a été appelée ainsi du fait qu’elle était un haut lieu de passage pour les caravanes.

Les caravanes modernes

Il serait dommage de se lancer à toute vitesse dans les histoires de caravanes modernes, que ce soit celles réservées aux safaris proprement dits ou aux autres caravanes qui font désormais partie de notre environnement quotidien.

caravane safari

Des vendeurs de véhicules intelligents ont pensé aux familles (nombreuses) qui partent en vacances et leur ont inventé la caravane de vacances : sorte de maison ou de gîte ambulant qui permet à la famille de voir du pays, sans être bloquée par une location, par exemple… La caravane peut être de grandeur et de confort intérieur qui diffèrent selon les moyens investis. L’avantage est que l’on se déplace librement et on peut faire des haltes plus ou moins longues dans des camping qui proposent des places « spéciales caravanes ».

D’autres caravanes sont restées dans l’imaginaire commun : celle des trois mages, qui, suivant la Grande Ourse leur a permis d’arriver à Bethléem.

Plus familière et amusante : la caravane du Tour de France. Dans son sillage : des équipes de journalistes, de soignants et de sponsors qui précèdent ou suivent le peloton des coureurs cyclistes. La caravane du Tour représente une réelle attraction touristique et un véritable événement national.

Mais les caravanes organisées pour les safaris restent les plus attrayantes, les plus fascinantes et les plus convoitées par les amateurs d’aventures exotiques et pittoresques.

Les caravanes d’antan ne traquaient pas les animaux sauvages

Les caravanes de chameaux qui traversaient les différents déserts apparurent pendant l’antiquité, mais ne se développèrent vraiment comme moyens de transport des marchandises et des hommes qu’à partir du 9ème siècle. A leur apogée, les caravanes comprenaient des milliers de chameaux voyageant à travers les déserts d’Arabie, d’Asie et d’Afrique du Nord… Voyages périlleux qui pouvaient durer des mois.

caravanes chameaux dans le desert antique
caravane de chameaux ( camélidés) dans le desert antique creditsimage : https://www.worldhistory.org

Les caravanes, qui en chemin faisaient des étapes indispensables dans les oasis, étaient en général contrôlées par des berbères pour ce qui est de l’Afrique du Nord et de l’Afrique sub-saharienne. Ils jouaient le rôle d’intermédiaires dans les échanges de marchandises très recherchées telles que le sel, l’or, le cuivre, le cuir, les chevaux, les esclaves, et les produits de luxe.

Le commerce transsaharien fut à l’origine d’idées nouvelles en matière d’art, d’architecture et de religion et transforma de nombreux aspects de la vie des villes et villages d’une région de l’Afrique jusque-là isolée.

Le Chameau

Voilà bien un animal singulier qui mérite à lui seul un titre et un paragraphe !

Bien que l’Afrique du Nord (ou le Maghreb) avait connu la présence d’un animal de type camélidé, le Camelus Thomazi, cette espèce s’était éteinte pendant l’Âge de pierre. Le dromadaire (Camelius dromedarius), celui qui ne possède qu’une seule bosse fut sans doute introduit d’Arabie à travers l’Egypte au 9 ème siècle avant J-C et pas avant le 5ème siècle avant J-C dans tout le reste de l’Afrique du Nord (même si les dates précises sont contestées par les historiens). Les chameaux cependant n’étaient toujours pas répandus, jusqu’au 4 ème siècle de notre ère.

camelus
Camelus : https://fr.wikipedia.org

Des caravanes de chevaux et d’ânes avaient traversé certaines zones du Sahara durant l’antiquité, mais ce fut le robuste chameau qui permit aux peuples anciens de transporter plus de marchandises à travers l’hostile Sahara et de le faire plus rapidement, réduisant ainsi les coûts et les risques à prendre.

La valeur du chameau ne tient pas seulement à sa capacité d’adaptation aux conditions désertiques et à son auto-régulation en température et en eau par ses glandes sudoripares : sa capacité à parcourir de longues distances est de 48 km par jour en moyenne et sa capacité de portage (240kg) en font un véritable « vaisseau du désert », comparé aux 60kg des chevaux, des ânes et des mulets. En effet, l’espérance de vie  du chameau (50 ans environ) dépasse celle de l’âne (30-40 ans) et du cheval (25-30 ans).

Les caravanes de l’antiquité

Bien avant les grandes caravanes de la période médiévale, il existait un commerce plus local entre les peuples nomades du désert et les tribus de la Savane, au sud du Sahara, souvent appelée « région du Soudan ».

Les cristaux de sel du Sahara, qui faisaient cruellement défaut dans la savane dépourvue de sel, étaient échangés contre des céréales.

Les routes se déplaçaient au fil des siècles tout comme les dunes de sable du désert, au gré de l’essor et du déclin des empires.

 

Des Safaris commerciaux et culturels aux Safaris de chasse et de tourisme

Par les routes commerciales transsahariennes

Les immenses caravanes de chameaux qui parcouraient au moins 1000 km à travers tout le Sahara n’apparurent qu’au 8 ème siècle avec l’essor des états musulmans du Maghreb et d’empires tels que celui du Ghana dansla région du Soudan (6-13 ème siècle).

La toute première route semble avoir été entre Wadi Drâa (Maroc du Sud) et l’empire de Ghana (Mali du sud) au milieu du 8ème siècle et traversait une partie du Sahara contrôlée par les berbères « Sanhaja ». 50 ans plus tard, deux autres importantes routes transsahariennes avaient été créées sur le territoire contrôlé par les Touaregs, une branche de la tribu des Sanhaja.

Ces routes allaient de l’ouest algérien jusqu’au royaume de Songhaï sur les bords du fleuve Niger, et de Lybie jusqu’au lac Tchad (une route parsemée de petites oasis et incluant une autre, très importante, Kawar).

Après la découverte de nouveaux filons d’or, Gao et Tombouctou sur le fleuve Niger, attiraient désormais assez de commerces en tout genre pour devenir une destination à part entière pour les caravanes en partance de ce qui est aujourd’hui la Tunisie et le sud de l’Algérie. Les grandes villes nord-africaines de Marrakech, Fez, Tunis ainsi que le Caire étaient toutes importantes comme point de départ ou d’arrivée pour les caravanes .

Les caravanes, bien qu’à une échelle beaucoup plus petite qu’à leur apogée existent encore aujourd’hui. Le sel saharien de Taoudenni est toujours transporté par des caravanes de chameaux touaregs, les plaques de 90 kilos destinées aux raffineries de Bamako au Mali. Les véhicules à quatre roues motrices et les téléphones satellites sont d’une valeur inestimables pour les voyageurs du désert contemporains, mais le chameau reste encore l’un des moyens les plus fiables pour atteindre et transporter des marchandises dans les parties les plus reculées du Sahara.

Le mot safar, safari : son évolution dans l’histoire

Safar, safari : évolution du mot

La majorité des spécialistes s’accorde pour dire que le swahili est une langue bantoue dans sa structure et son origine et qui a intégré du vocabulaire d’origine arabe du fait de contacts sur la longue durée avec des commerçants venus de la péninsule arabique.

Le mot Swahili lui-même vient de l’arabe : pluriel de sâhil qui veut dire côte ou bord de mer, et qu’on pourrait traduire par « langues des côtes maritimes ».

En swahili, le mot safari a fini par prendre le sens de « long » voyage.

Aujourd’hui, il désigne une excursion touristique à caractère sportif ou culturel.

Longtemps, ce terme a désigné des voyages de chasse au grand gibier d’Afrique, aussi appelée chasse aux trophées. De nos jours, le terme safari est le plus souvent utilisé pour décrire des séjours touristiques dans les parcs nationaux d’Afrique de l’Est –(Ouganda, Kenya, Tanzanie) ou d’Afrique australe (Zambie, Zimbabwe, Mozambique, Namibie, Botswana, Afrique du sud). Certains se limitent à la prise de photos, d’autres autorisent la chasse d’animaux sauvages.

Puis, par extension, le mot safari a aussi été utilisé pour désigner une certaine forme de zoo, où les animaux vivent en semi-liberté et sont approchés et observés à travers un circuit en automobile ou en autobus ; on parle alors de safari-photo.

Récemment, des écosafaris ont été mis en place, dans le prolongement de la mode du tourisme éthique ou écologique.

Des visites à caractère semi-sportif de cavités souterraines aménagées sont également qualifiées de safaris souterrains.

Les pays d’Afrique pour des safaris inoubliables

L’Afrique représente tout un continent. Particulièrement gâté par la nature : forêts « amazoniennes », fleuves interminables, animaux sauvages de toute sorte, faune et flore diversifiées à l’infini, cirques et chaînes de montagnes à couper le souffle, déserts fascinants parsemés d’oasis de toutes tailles et où la vie dans tous les sens du terme resurgit du néant avec des populations sédentaires, prêtes à accueillir les caravanes qui entreprennent les longues et périlleuses traversées du désert.

Pratiquement, tous les pays d’Afrique jouissent de richesses naturelles  importantes qui permettent au moins de développer un tourisme très diversifié selon les pays.

Citons donc, au passage, quelques parcs nationaux, devenus célèbres  dans un certain nombre de pays d’Afrique autres que la Tanzanie.

Afrique du Sud : le Parc National Kruger

 On pourrait dire que c’est le plus mythique des parcs africains. Il réunit sur près de 20 000 kilomètres carrés un écosystème unique qui évolue librement entre le parc national et les réserves privées.

Pour la faune, on y trouve léopards, rhinocéros, buffles, girafes. Au total, le Parc Kruger rassemble près de 150 espèces.

Les Big Five sont représentés ici en large densité. Littéralement, les « Cinq Grands » sont un ensemble de cinq mammifères africains mis en avant par les autorités touristiques dans le cadre des safaris photographiques ou de chasse aux trophées.

Ces cinq animaux privilégiés sont  le lion d’Afrique, le léopard d’Afrique, l’éléphant d’Afrique, le rhinocéros noir et le buffle d’Afrique. A l’exception du buffle, ces espèces sont très menacées depuis le XX ème siècle. Ils sont qualifiés de « grands » non pas à cause de leur taille mais de la difficulté de leur chasse.

 

Kenya : Parc National du Lac Nakuru

Lac Nakuru National Park

 Le lac Nakuru est situé à environ quatre heures de route de Nairobi et reste l’une des perles du Rift. Désormais, le lac Nakuru, déserté par les flamants roses, abrite de grands mammifères comme les rhinocéros noirs et les girafes de Rothschild. Célèbre pour les flamants roses, le parc national du lac Nakuru abrite l’une des populations d’oiseaux les plus diversifiées d’Afrique, ainsi que des rhinocéros, des hippopotames, des léopards, des lions, etc. Même si votre emploi du temps ne permet pas un safari d’une nuit, faites-en l’expérience lors de cette excursion privée d’une journée

Excursion journée au Parc de Nakuru

 

Botswana : Réserve de Khwai

Khwai Safaris
Khwai Safaris

La réserve de Khwai se situe au nord-est du delta de l’Okavango. Un écosystème de grandes plaines inondées, paysage unique de lagunes surmontées d’îles et de forêts.On y trouve de grands troupeaux d’éléphants, hippopotames, girafes, antilopes, oiseaux… Avec la réserve voisine de Moremi , la région rassemble la plus grande densité animale du pays.

Le delta du fleuve Okavango concentre d’étonnants paysages lacustres mêlant canaux, lagunes et îles. Lors de l’hiver austral, le delta concentre une vaste faune (éléphants, buffles, lions, crocodiles, léopards… ) au total plus de 150 espèces.

La Tanzanie, pays des safaris en Afrique du Sud

La Tanzanie est une république (République-Unie de Tanzanie) d’Afrique de l’Est située en bordure de l’océan Indien dans la partie tropicale de l’hémisphère sud.

Elle est entourée au nord par le Kenya et l’Ouganda, à l’ouest par le Rwanda, le Burundi et la république démocratique du Congo, au sud-ouest par la Zambie et le Malawi et au sud par le Mozambique. Le pays couvre 945 087 km2 et comptait 58,5 millions d’habitants en 2018, essentiellement des bantous.

La capitale est Dodoma, située à l’intérieur des terres, mais le principal pôle économique est l’ancienne capitale Dar es -Salam, située sur la côte. Les langues officielles sont le swahili et l’anglais mais l’arabe est aussi parlé notamment dans les îles de Zanzibar et Pemba.

île de Chumbe Stone Town
île de Chumbe Stone Town- Zanzibar- Tanzanie

La Tanzanie actuelle est née de l’union du Tanganyika et de Zanzibar (d’où le mot-valise Tanzania) le 26 avril 1964, peu de temps après leur indépendance respective vis-à-vis du Royaume -Uni.

A signaler que la Tanzanie a été longuement colonisée par le sultanat d’Oman qui s’y fournissait en esclaves.

Pays de l’hémisphère sud, situé en Afrique de l’Est, ses frontières naturelles sont formées par l’océan Indien à l’Est, le Kilimandjaro et le lac Victoria au nord, la rivière Kagera au nord-ouest, le lac Tanganyika à l’ouest, le Malawi au sud-ouest et le fleuve Ruvuma au sud.

Il a des frontières terrestres avec le Kenya et l’Ouganda au nord, le Rwanda et le Burundi au nord-ouest, la république démocratique du Congo à l’ouest, la Zambie et le Malawi au sud-ouest et la Mozambique au sud.

Le pays est traversé par la vallée du Grand Rift qui parcourt la partie occidentale du nord au sud et dans laquelle se loge quelques-uns des grands lacs africains : lac Malawi, lac Rukwa, lac Tanganyika, lac Victoria, lac Eyasi, lac Manyara, lac Natron, etc…

Le centre du pays est constitué d’un plateau drainé par des rivières et des fleuves qui se jettent dans l’océan Indien. La façade maritime du pays est formée d’une plaine côtière qui fait face à l’archipel de Zanzibar formé de trois principales îles : Unguja, Pemba, et Mafia.

La Tanzanie comporte plusieurs volcans dont un seul, l’Ol Doinyo Lengaï est encore actif et un autre constitue le point culminant du continent africain, le Kilimandjaro, avec ses 5892 mètres d’altitude.

kilimandjaro Tanzanie
Mont Kilimandjaro : Le Mythique Toit de l’Afrique | L’Odyssée de la Terre Créateur : Laurent Péan – Naephoto

La Tanzanie est surtout connue pour ses nombreux parcs naturels tels que l’énorme terrain de Serengeti, le Tarangire, le lac Manyara ou le magnifique cratère de N’Gorongoro, où on peut avoir la chance d’apercevoir lions, crocodiles, éléphants, guépards, léopards, hyènes, chacals, girafes, hippopotames, etc… Ces aires protégées sont cependant victimes du braconnage, qui vise essentiellement des éléphants.

Expérience et itinéraires safari :Zanzibar, Makumi, Selous

Safaris en Tanzanie 

Quels sont les parcours à privilégier ?

Les premiers safaris en Tanzanie sont le plus souvent consacrés aux parcs du nord, avec l’incontournable cratère du Ngorongoro et le parc national du Serengeti. Grâce à un réseau local de liaisons en avionnettes, une durée de séjour suffisante et un budget approprié, on peut intégrer le sud de la Tanzanie avec la réserve de Selous et le parc de Ruaha, très complémentaires aux parcs du nord en terme de diversité d’écosystèmes et d’expériences.

Les parcs de l’ouest de la Tanzanie conviennent parfaitement aux voyageurs aventureux. Les parcs de Katavi et Mahale offrent des conditions d’immersion incomparables compte tenu de leur éloignement et du très faible nombre de visiteurs qu’ils accueillent.

Destination de safari exclusive par excellence, la réserve offre des conditions de séjour incomparables aux voyageurs qui souhaitent ne pas être noyés dans les foules de touristes.

La Tanzanie dispose de quelques réserves et concessions privées dont les principales sont la réserve de Grumeti et la zone de conservation de Maswa.

Quels moyens de transport choisir pour son safari en Tanzanie ?

En Tanzanie, pour effectuer des safaris dignes de ce nom, les autorités ont mis en place un système de transport unique pour satisfaire tous les types de demandes avec le maximum de conditions de confort, adaptées aux attentes des clients.

Les voyageurs qui souhaitent éviter les trajets par la route peuvent bénéficier des liaisons régulières opérées en avion taxi pour rejoindre directement la proximité de leur hébergement. Dans le jargon du métier, cela s’appelle le Fly In Safari.

Il existe en Tanzanie des safaris en avion sur mesure, grâce à l’excellent maillage en liaisons aériennes des parcs nationaux. Ces vols domestiques permettent de rejoindre facilement les parcs et réserves les plus éloignés. est la formule la plus adaptée

Safari Tanzanie authentique : lac Manyara, Tarangire, cratère du N’Gorongoro, Serengeti

Pour les voyageurs qui souhaitent découvrir aussi le pays et appréhender les réalités tanzaniennes, le safari itinérant en 4X4 est la formule la plus adaptée.  Des programmes soigneusement élaborés permettent d’éviter les voyages les trajets trop longs pour optimiser les temps de safari, limiter la fatigue et éviter la lassitude. Les chauffeurs-guides francophones sont sélectionnés avec le plus grand soin pour leurs qualités professionnelles et leur niveau de français, le véhicule 4X4 est équipé de la climatisation et d’une connexion Wifi.

Des activités safaris Tanzanie 4X4 et lodges

Les camps et lodges de Tanzanie proposent les activités de safari en 4X4. Ils disposent d’une flotte de véhicules « ouverts » qui offre la meilleure vue possible, conduits par des chauffeurs chevronnés connaissant parfaitement le terrain. Les équipes de guides expérimentés connaissent parfaitement le terrain et les habitudes de la faune. Parfaitement formés, ils savent également passionner leurs auditeurs avec leurs explications bien rodées parsemées d’anecdotes.

Les camps et loges de Tanzanie proposent souvent d’autres approches du safari. Safari à pied  avec ranger armé pour une véritable immersion en brousse ; safari de nuit en 4X4 pour observer la faune dans une atmosphère unique ; safari en bateau en naviguant dans le réseau des lacs et rivières de la réserve de Selous.

Safari en bateau : Une excursion d’une journée à Selous en avion depuis Zanzibar

 

 

safari en bateau tanzanie selous
Une excursion d’une journée à Selous en avion depuis Zanzibar : Programme
Réaliser un safari inédit dans la réserve de gibier de Selous en Tanzanie, la plus grande réserve protégée d’Afrique, lors de cette excursion d’une journée au départ de Zanzibar.
  • Volez en charter de Zanzibar ou Dar Es Salaam directement à Selous et profitez d’un safari privé
  • Parcourez les plaines pour voir des animaux sauvages tels que le lion, l’éléphant, la girafe et l’hippopotame.
  • Surveillez le lion, le guépard, la girafe, l’hippopotame et plus encore lors d’un safari
  • Volez directement vers Selous en charter depuis Zanzibar ou Dar Es Salaam

Excursion d’une journée à Selous en avion depuis Zanzibar

 

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