La bibliothèque royale, Turin, Italie

Est une institution culturelle turinoise et un lieu patrimonial inscrit à l’UNESCO. La bibliothèque royale est une des résidences de la famille royale de Savoie a Turin  en Italie. Elle est située dans le complexe du Palais royal, donnant sur la place Castello. La Bibliothèque Royale a été fondée par le roi Charles-Albert de Savoie, issu de la branche des Carignan, qui, ayant été couronné la même année, voulait stimuler le développement du Piémont, en promouvant, dans le cadre de ses réformes administratives et politiques, les arts et les institutions artistiques et culturelles. Charles-Albert prévoit d’agrandir la bibliothèque palatine, qui avait été fortement réduite par le don de Victor-Amédée II à la bibliothèque de l’Université de Turin, et il y joint sa collection personnelle, riche en volumes ayant appartenus à sa grand-mère paternelle Joséphine de Lorraine-Carignan, femme cultivée, et ouverte aux nouvelles idées. Le roi a recours à la collaboration d’un petit cercle d’érudits: il subventionne des voyages de recherche à l’étranger qui permettent d’entrer en contact avec les progrès des lettres, des sciences et des institutions culturelles, et de se procurer des documents pertinents sur l’histoire des domaines de la Maison de Savoie, et d’autres livres qui, pour leur rareté ou leur beauté, méritaient d’être achetés. La bibliothèque s’enrichit de précieux volumes, livres anciens, manuscrits enluminés.
la bibliothèque atteignait déjà les trente milles volumes, tous de très grande valeur. L’augmentation du patrimoine comporta son installation dans l’aile située au-dessous de la Galerie de Beaumont, dans les salles aménagées par l’architecte Pelagio Palagi. Le peintre Marco Antonio Trefogli avec le Milanais Angelo Moja peignit en monochrome la voûte en berceau de la grande salle centrale, d’après un dessin de Palagi, dont il existe des mandats de paiement.
La croissance de l’institution ralentit considérablement avec l‘avènement au trône de Victor-Emmanuel II, peu sensible au soin des biens constitués de livres, et avec le déplacement de la capitale d’abord à Florence et puis à Rome. Les souverains continuèrent en tout cas à envoyer à Turin les livres reçus à titre d’hommage.
Une importante acquisition eut lieu grâce au don du comte Teodoro Sabachnikoff du code sur le vol des oiseaux de Léonard de Vinci. L’avènement de la République au lendemain de la seconde guerre mondiale vit la bibliothèque passer, quoique après un long contentieux avec la maison de Savoie à l’Etat italien.

Hébergement :
L’ensemble des quarante sept chambres de l’Hôtel Turin avec une décoration personnalisée offrent le Wi-Fi gratuit et le service en chambre. Pour des divertissements de choix, des télévisions à écran plasma sont dotées de chaînes numériques. Vous aurez aussi à disposition des pommeaux de douche à jet de pluie et des sèche-cheveux.

Gastronomie:
Les entreprises de production de chocolat produisent un chocolat typique, appelée Gianduiotto, du nom de Gianduja, un masque de la Commedia dell’arte locales, ainsi que de nombreux autres types de chocolat. Chaque année, la ville organise CioccolaTò, un festival de deux semaines consacré au chocolat avec les principaux producteurs de chocolat piémontais, comme Caffarel, Streglio, Venchi et autres, ainsi que certaines grandes sociétés internationales, telles Lindt & Sprüngli.
La gastronomie locale est sans égal: plats exquis, recettes de la tradition, vins excellents et le célèbre chocolat « gianduia » offrent des saveurs pour tous les goûts. Mais les surprises sont infinies dans cette terre où histoire, culture et nature créent un ensemble au charme extrême.