L’histoire de la Sicile est antérieure de plusieurs milliers d’années à celle des Grecs, mais il est important de comprendre comment ces premiers habitants ont influencé la culture qui allait devenir grecque.

Histoire de la Sicile

En fait, nous allons commencer notre voyage en 20 000 avant J.-C., avant que les premières traces écrites de l’activité humaine en Sicile ne soient faites. C’est à cette époque que l’on peut trouver des preuves de la présence de peuples paléolithiques dans la région. L’exemple le plus célèbre est celui de Levanzo et Addaura : deux grottes où l’on peut encore voir des peintures préhistoriques.

20000 – 750 avant JC : Histoire pré-grecque

Vers 4 000 avant J.-C., il y avait des établissements néolithiques dans l’Est de la Sicile, dont des poteries et des outils trouvés au musée de Lipari.

Puis nous avons l’âge du bronze (3000-2000 av. J.-C.), qui a vu davantage de colonies venir de Grèce. C’est à cette époque que se développent les traces de culture, d’élevage et de commerce.

Enfin, nous arrivons à l’âge du fer (2000-1000 avant J.-C.), qui a apporté une influence mycénienne en Sicile. Cette période est également remarquable car elle a vu Capo Graziano et Punta Milazzese, sur les îles Éoliennes, émerger comme centres culturels.

Vers 1250 avant J.-C., des colons Ausoniens s’installent dans les îles Éoliennes tandis que les Sikels occupent les parties orientales de la Sicile et commencent à se déplacer vers l’ouest, vers l’intérieur des terres.

 Les Phéniciens, qui s’étaient établis en Méditerranée occidentale, remplacent les Mycéniens et fondent Panormus (Palerme), Solunto et Mothya.

Histoire de la Sicile, Punta Milazzese

En 900 avant J.-C., les Phéniciens s’établissent en Méditerranée occidentale et conquièrent toute la Sicile au sud de Taormine. Ils ont construit leur première colonie dans la région, la nommant Panormus, d’après leur patrie en Phénicie. La ville a ensuite été rebaptisée Palerme par les Grecs.

Les Phéniciens ont également fondé Solunto, qui se trouvait sur une île près de l’actuelle Messine. Et ils ont colonisé Mothya (Motya), une petite île au large de Trapani qui sera plus tard connue pour ses mines de fer.

Les Phéniciens étaient des commerçants qui construisaient des navires et naviguaient dans toute la Méditerranée. Leurs marchands ont fini par atteindre la Grande-Bretagne, où ils ont commercé avec les peuples autochtones et ramené de l’étain des Cornouailles.

750-215 av. J.-C. : Les Grecs

Les Grecs arrivaient en Sicile.

En 734 avant J.-C., les Grecs ont commencé à arriver à la recherche de terres pour le développement d’une riche « Magna Graecia ». Les Naxiens suivis des Mégariens à Megara Hyblaea, les Corinthiens à Ortygia (Syracuse), les Rhodiens, les Crétois et les Cnidiens à Gela. Ce qu’il reste à voir : Taormine, Ortygie, Megara Hyblaea, Erice.

Les villes mères commencent à former des cités-états indépendantes. Ce qu’il reste à voir : Agrigento , Selinunte , Segesta , Eraclea Minoa.

La Sicile se révèle exceptionnellement fertile et l’olivier et la vigne sont introduits dans cette région. Le commerce s’intensifie et la Magna Graecia sicilienne devient extrêmement riche. Les rivalités internes donnent lieu à des guerres sanglantes.

480 AVANT JÉSUS-CHRIST : La bataille d’Himera – une alliance inhabituelle de Gela, Agrigente et Syracuse bat Carthage, annonçant le début d’un « âge d’or ».

450 AVANT J.-C : Révolte menée par Ducetius (un Sikel hellénisé), écrasée par Syracuse qui confirme son pouvoir.

En 415 avant J.-C., l’armée athénienne a commencé son invasion de Syracuse. L’objectif était d’aider Ségeste à vaincre les tyrans de Syracuse. Ce fut une erreur coûteuse : bien qu’ils aient réussi à vaincre les tyrans, ils ont perdu des milliers d’hommes et de nombreux navires, et beaucoup d’autres ont été faits prisonniers par les Syracusains. Les Athéniens furent contraints de se retirer de Sicile, laissant derrière eux de nombreux soldats qui furent emmenés comme esclaves.

211 avant J.-C. – 468 après J.-C. : Les Romains

La chute de la République romaine a été un processus long et douloureux. Elle a commencé en 211 avant Jésus-Christ, lorsque Rome a vaincu les Grecs à Syracuse, et s’est terminée avec la fondation de l’Empire en 27 avant Jésus-Christ.

La période entre ces deux événements est connue sous le nom de deuxième guerre punique (ou guerre d’Hannibal), et elle a vu le plus célèbre général de Rome se battre pour empêcher sa patrie de tomber aux mains de l’ennemi.

La première guerre punique s’était terminée par la perte de la Sicile par Carthage au profit de Rome en 201 avant J.-C., et Carthage ne tenait pas à la perdre à nouveau aussi rapidement; de même que la Sardaigne-Corse et l’Espagne. Ils ont donc envoyé Hannibal au nord pour faire tomber Rome elle-même, mais au lieu de cela, il a été contraint de retourner en Espagne par Scipion Africanus.

En 202 avant J.-C., cependant, Scipion Africanus est rappelé d’Espagne par ses ennemis politiques (qui étaient jaloux de ses victoires militaires). Ils l’accusent de trahison et le jugement pour cela, mais il est acquitté en faisant valoir que s’il n’était pas coupable, personne d’autre ne pouvait l’être !

En 203 avant J.-C., Hannibal arrive en Italie avec une armée de 3 500 hommes ; pendant ce temps, Scipion Africanus prend le commandement de l’armée italienne.

 L’Empire byzantin du Moyen Âge est une période fascinante de l’histoire. On assiste à la montée du christianisme et à la chute de Rome.

Hannibal

468 – 476 : Les Vandales

Le premier événement important de cette période est l’invasion de l’Afrique par les Vandales (d’origine germanique). Ils chassent les Romains et s’approprient leurs terres.

476-535 : Les Ostrogoths

Les Ostrogoths, une autre tribu originaire de l’actuelle Allemagne, ont envahi l’Afrique du Nord en 476. Ils ont réussi à s’emparer du territoire des Vandales, mais ils sont eux-mêmes tombés sous le contrôle des Byzantins en 535. Les Byzantins ont régné sur les deux groupes jusqu’en 827, date à laquelle ils ont été conquis par les Arabes et les musulmans.

535-827 : Les Byzantins

Les Byzantins sont arrivés en Sicile en 535 sous la direction de Belisario et y ont établi une forte culture grecque. Cela a duré jusqu’en 663, date à laquelle Syracuse est brièvement devenue la capitale de l’empire byzantin, avant d’être à nouveau remplacée par Constantinople en 717-18 AD.

827-1061: les Arabes

Pendant longtemps, la Sicile a été gouvernée par les Arabes.

Mais les Arabes n’ont pas toujours été là. Et ils ne sont pas arrivés en Sicile par une invasion massive. En fait, la première fois que nous savons qu’ils sont venus en Sicile, c’est en 827, lorsqu’un groupe de 10 000 musulmans arabes a débarqué à Mazara del Vallo. Ils étaient à la recherche de ce qu’ils considéraient comme leur terre sainte, la Palestine, mais ils ont fini par rester en Sicile.

Il est difficile d’imaginer à quel point la vie devait être différente à l’époque, quand on voit à quel point elle l’est aujourd’hui ! Les Arabes ont apporté la paix et la prospérité à Palerme et dans d’autres régions du sud de l’Italie pendant plus de 200 ans, mais lorsqu’ils ont été vaincus par les Normands en 1061, tout a de nouveau changé.

1060 – 1194: les Normands 

Les Normands constituent un groupe de personnes fascinantes. Ce sont des Vikings venus de Normandie, en France, qui ont envahi la Sicile en 1060. Les Normands sont devenus la classe dirigeante et ont changé à jamais la culture de la Sicile.

La Normandie était une partie importante du monde viking, mais elle n’était pas vraiment un royaume avant que Guillaume le Conquérant ne prenne le pouvoir en 1066. Il a mené une armée à travers l’Angleterre et a vaincu le roi Harold à Hastings, devenant ainsi roi des deux pays.

Ce n’est qu’une vingtaine d’années après cette conquête que le petit-fils de Guillaume, Roger II, a conquis la Sicile. Il y est parvenu grâce à sa puissance militaire, mais aussi par la diplomatie et des manœuvres politiques astucieuses. Il parvint à contrôler la majeure partie de l’Italie du Sud en 1091, avant de se consacrer à la conquête de la Sicile.

Roger II a régné sur la Sicile de 1130 à 1154 avant de céder son titre à son fils Roger III (qui a régné jusqu’en 1194). Mais même si le règne de Roger II a pris fin en 1154, son influence sur l’île s’est poursuivie pendant des siècles. Il a établi une nouvelle capitale à Palerme et a commencé à développer ses infrastructures et sa culture afin d’en faire une ville plus moderne, digne de son statut de capitale de ce nouveau royaume.

1194-1266: les Hohenstaufen

La dynastie des Hohenstaufen a régné sur la Sicile de 1194 à 1266. Ils sont arrivés au pouvoir lorsque Frédéric Ier de Souabe, fils d’Henri VI, a été élu roi d’Allemagne et empereur du Saint Empire romain germanique en 1198. Il épouse Constance, fille de Roger III de Sicile, qui n’a pas d’héritiers.

Frédéric Ier de Souabe devient roi de Sicile en 1198, tandis que son épouse Constance devient reine de Sicile. Leur mariage est sans enfant mais ils adoptent un fils, Tancred. Après la mort de Constance en 1198 (ou 1199), Frédéric épouse sa cousine Constance d’Aragon, qui donne naissance à Manfred en 1210. En 1220, Frédéric II est né.

En 1220-21, Frédéric II est couronné roi d’Allemagne et empereur du Saint Empire romain germanique sous le nom de Frédéric II par le pape Honorius III à Rome lors d’une cérémonie qui se déroule le jour de Noël 1220 dans la basilique Saint-Pierre ; il reçoit également l’investiture impériale des archevêques-électeurs d’Aix-la-Chapelle le 5 avril 1221 lors d’une cérémonie de couronnement qui se déroule juste avant son départ pour la Sicile où il commencera à régner simultanément sur les deux pays jusqu’à sa mort le 13 décembre 1250 (à 38 ans).Histoire de la Sicile, temple de Sélinonte

1266 – 1282: les Français angevins

Les Angevins français ont régné sur la Sicile de 1266 à 1282 et ont laissé une empreinte indélébile sur la culture de l’île.

Les Angevins étaient une dynastie française qui a régné sur Naples et la Sicile de 1266 à 1302. En 1282, ils ont été chassés de Naples par les Aragonais, qui ont ensuite régné sur l’Italie et la Sicile pendant des décennies.

La Sicile était une étape importante sur la route commerciale entre la France et la Terre Sainte, il était donc naturel que les Angevins veuillent en prendre le contrôle. Ils ont pu conquérir la Sicile parce qu’elle était divisée entre de nombreuses factions en guerre : les souverains Hohenstaufen d’Allemagne, l’Empire byzantin, d’autres cités-États italiennes comme Venise et la noblesse sicilienne locale. Les Angevins se sont alliés à certaines de ces factions tout en en combattant d’autres, ce qui leur a permis de prendre le pouvoir en Sicile assez facilement.

Une fois qu’ils ont pris le contrôle de Palerme (la capitale), ils ont nommé leurs propres fonctionnaires comme gouverneurs tout en maintenant des liens avec d’autres parties de l’Italie par des alliances matrimoniales avec d’autres familles royales comme la Maison de Savoie de Gênes. Ils ont également mis en place leur propre système féodal en plus de ceux qui existaient déjà afin de consolider davantage leur pouvoir.

1282-1516: les Aragonais

Les Aragonais étaient une dynastie politique qui a régné sur le royaume de Sicile de 1282 à 1516. La famille a été fondée par Alphonse II, petit-fils du roi Pierre III d’Aragon et de la reine Pétronille de Provence.

Le fils d’Alphonse II, Jacques II, est devenu roi à sa mort en 1285. Il poursuivit les efforts de son père pour unifier la Sicile sous la domination aragonaise et les renforça même avec l’établissement des Cortes Generales ou tribunaux généraux.

En 1347, les Vêpres siciliennes déclenchent un soulèvement contre la domination française qui durera trois ans et obligera Charles Ier d’Anjou à quitter l’île. Le frère de Charles, Louis Ier, lui succède comme roi mais meurt peu après son arrivée en Italie, laissant son fils Robert comme régent jusqu’à sa majorité, à 14 ans.

La famille continuera à régner sur la Sicile jusqu’en 1516, date à laquelle l’Espagne sera unifiée sous une seule couronne grâce au mariage de Ferdinand II avec Isabelle Ier de Castille, la fille de Jean Ier lui-même !

1516-1713: les Habsbourg espagnols

Les Habsbourg étaient une dynastie de souverains qui ont dominé l’Espagne de 1516 à 1713. Pendant cette période, ils ont également contrôlé la couronne sicilienne.

Les Habsbourg d’Espagne ont d’abord pris le contrôle de la Sicile en 1516, après avoir vaincu les armées françaises à la bataille de Ravenne. Ils se sont ensuite imposés comme les souverains des territoires italiens de l’Espagne.

En 1559, Charles Quint (qui était empereur du Saint Empire romain germanique) a accordé la Sicile à son fils aîné Philippe II, qui avait déjà été couronné roi de Naples et de Sardaigne en 1554. Philippe II régna sur la Sicile jusqu’en 1598, date à laquelle il mourut et fut remplacé par son fils Philippe III. Ce dernier a régné sur la Sicile jusqu’en 1621, mais son frère Ferdinand a assuré la régence jusqu’en 1656, date à laquelle Philippe IV a pris le pouvoir. En 1665, il a transmis le pouvoir à son fils Charles II, qui a continué à régner jusqu’en 1713, date à laquelle l’Espagne a été prise par Napoléon Bonaparte pendant les guerres napoléoniennes (la guerre de succession d’Espagne).

1713-1720: la Maison de Savoie

Au nord de Naples, la ville de Palerme compte parmi les villes les plus importantes de Sicile, la deuxième plus grande île de la Méditerranée. En 1713, le roi Philippe V d’Espagne reconnaît officiellement la Maison de Savoie comme souveraine de la Sicile. L’histoire se poursuit à partir de là, avec de nombreux rebondissements.

Philippe V (roi d'Espagne)

1720-1734: les Habsbourg autrichiens

Les Habsbourg régnaient sur le royaume de Naples et la Sicile alors que le théâtre de guerre européen était sur le point de connaître des changements substantiels.

En l’espace de quelques décennies, entre 1720 et 1734, les troupes autrichiennes ont occupé la Sicile à trois reprises (1720-1723 ; 1729-1730 ; 1732-1734), la perdant à chaque fois face aux rebelles locaux. L’occupation la plus longue s’est déroulée de mars 1732 à juillet 1733. Cette brève période a produit une numismatique fascinante, dont une grande partie est encore perdue ou enterrée dans des collections. 

Le plus souvent, les pièces font partie d’une collection plus importante et peuvent être trouvées par erreur dans des armoires ou des boîtes à pièces portant la mention « duplicata ». Mes recherches m’ont permis de faire de nombreuses découvertes de ce type ; les plus importantes sont présentées dans cet article.

1734-1806: les Bourbons

Si le règne de Giuseppe a été marqué par la police secrète, les réformes fiscales et les troubles locaux, il a également lancé une foule d’améliorations telles que de nouvelles routes, des ponts et des aqueducs. Il est mort dans son palais de Caserta et est enterré à San Lorenzo Maggiore à Naples. Son fils et successeur, Ferdinand Ier, reprit là où Giuseppe s’était arrêté.

 L’écrivain de voyage anglais Richard Ford l’a appelé « le fou le plus sage de la chrétienté ». Son mariage avec Maria Carolina donna au prince régent de Grande-Bretagne une belle-sœur qu’il adorait et à l’excentrique roi George IV une tante officieuse. 

Maria Carolina est née dans une grande famille napolitaine qui avait des liens avec la famille royale britannique ; son père était le frère de l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche et de la reine Marie-Antoinette de France. Son père était le frère de l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche et de la reine Marie-Antoinette de France. Cependant, elle et sa famille ont été contraintes de fuir la Révolution française en Sicile jusqu’à la restauration de la monarchie des Bourbons en 1814.

1806-1815: Administration britannique

Dans l’ensemble, la Sicile a été essentiellement pacifique sous la domination britannique. Les effets de la Révolution française n’ont jamais atteint pleinement l’île, avec peu de soulèvements ou d’actes violents. Cependant, les tensions ont été vives entre le mouvement séparatiste et les représentants du gouvernement britannique, notamment lorsqu’ils ont dû s’adapter à de nouveaux systèmes politiques. En fin de compte, l’influence britannique a été plus prononcée dans certaines régions de l’île que dans d’autres ; elle a affecté des villes comme Catane et Palerme bien plus directement que les villages de montagne.

1815-1860: les Bourbons

Il est facile de voir l’importance historique des années 1815-1860 en Sicile : c’était une époque de grands changements. Cependant, ce que beaucoup ne réalisent pas, c’est qu’il s’agissait également d’une période de progrès pour les Siciliens. Entre 1820 et 1860, l’éducation est devenue accessible à un plus grand nombre de personnes, tout comme les idées d’assainissement de base telles que l’installation d’aqueducs dans toute la campagne. Les années 1970 ont été une période fascinante de l’histoire sicilienne, dont il faut se souvenir.

1860-1946: une Italie unie sous une monarchie

Pour combler le vide dans son cœur, elle a fait une promesse et a prié en silence. Elle a juré que lorsqu’elle serait adulte, elle ferait des deux une seule personne. Maintenant que sa fille était devenue adulte et qu’elle pouvait réaliser son souhait, Bona fit comme si rien ne s’était passé. Il mourut en 1853 sans vivre pour voir l’Italie unifiée. Mais sa fille a vécu assez longtemps pour la voir se réaliser. Aujourd’hui, plus de cinquante millions de personnes sont des citoyens italiens. C’est parce que le rêve de Cielo s’est réalisé en 1898, lorsque Victor Emmanuel II a proclamé l’unification de l’Italie depuis le balcon du palais royal de Milan.

1946 – aujourd’hui: la République italienne

La République italienne est née le 25 juin 1946, lorsque le roi Umberto II a décidé d’abdiquer, car il n’était pas à l’aise avec la République. Il avait tenté à plusieurs reprises de faire quitter le trône à son père, le roi Vittorio Emanuele III, mais cela ne s’est jamais réalisé. La République italienne est née d’un référendum au cours duquel 92% des gens ont voté oui. Les faits étaient pourtant différents, car la république n’était pas du tout populaire : des gens votent non même s’ils n’avaient aucune idée de ce pour quoi ils votaient.

 

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